Un monde totalitaire jusqu’au-boutiste où rien ne doit stimuler, d’aucune façon que ce soit, les émotions.
Tout est dans des tons de gris, toute forme d’art est prohibée, chaque relation humaine contrôlée… Un jour, comme un autre, Fausto sans y réfléchir, trace un cercle dans le sable de la plage et s’évanouit. Aussitôt, il est hospitalisé.
L’ultime testament, Giulio Cavalli
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