Récit écrit à la première personne, une jeune femme raconte ou plutôt se livre à son gynécologue le temps d’une consultation, sur ses fantasmes et ses obsessions. Son langage est cru, direct, sans retenue. Elle s’adresse aux femmes qui ont renoncé à leur liberté, accrochées aux conventions sociales.
Sans culpabilité, cette jeune femme veut s’offrir « a jewish cock », allez savoir pourquoi, en nous offrant ce petit roman complètement fou et satyrique.
Editions Grasset (août 2021)
Traduit de l’anglais par Pierre Demarty
Née en Allemagne en 1987, Katharina Volckmer s’est installée à l’âge de 19 ans à Londres où elle travaille aujourd’hui pour une agence littéraire. Son premier roman, Jewish cock, dont les droits mondiaux ont été confiés à Grasset, a connu un accueil exceptionnel dans le monde entier. Traduit dans une quinzaine de pays, ce monologue « digne d’Alexander Portnoy » (The New York Times), « transgressif, incendiaire et plein d’humour noir » (The New Yorker), a été considéré comme l’un des meilleurs livres publiés en 2020 par The Times Literary Supplement, et comme « le livre le plus explosif de l’année » par le magazine Rolling Stone.