« Ce mausolée aurait dû être le tien, fragile monument que je m’étais efforcée de bâtir non pas à ta gloire mais pour te détruire saccager pour toujours ton image et cet immense amour que j’avais eu de toi ».
Louise Chennevière signe son deuxième roman avec énormément de talent d’écriture.
Ce monologue introspectif nous plonge dans une relation amoureuse, une grande histoire d’amour terminée qu’elle raconte avec passion, cœur, tendresse, violence, difficulté.
Un roman charnel et sensuel pensé comme une déclaration d’amour faite à un homme parti pour une autre. Les enchainements sont naturels et relancent avec entrain les histoires, la rencontre, ce sentiment que l’appartenance à l’autre est fragile. Un très beau livre intime incisif laissant planer des silences, des doutes, des absences des remises en question et les illusions sur l’histoire d’amour.
[Dédicace samedi 11 septembre, 15h30]Yamen Manaï incarne cet adolescent, ce jeune rebelle, désobéissant à une société qui file droit. Lui ce qu'il aime c'est son chien et les livres qui…
C’est l'histoire d'un couple, une histoire d'amour névrosée, obsessionnelle et dérangeante au possible. Un rappel des 15 années de bonheur de souffrance, d’adultère, de règlements de compte mais avec, toujours,…
Camille ne dort plus depuis plusieurs semaines. Elle a consulté différents médecins, essayé toutes les méthodes possibles, mais rien n’y fait. Son manque de sommeil l’empêche de se concentrer, elle ne va plus travailler. Et son esprit lui joue parfois des tours : la réalité se tord, s’altère, Camille a des hallucinations, et doit faire des efforts constants pour ne pas perdre pied avec la réalité.
Elle est prête à tout pour retrouver le sommeil, et une vie normale. Revoir sa nièce, sa petite bouffée d’oxygène vivifiant dans son quotidien, mais elle a fait un geste qu’elle ne parvient pas à regarder en face, un geste qu’elle devra expliquer à son frère avant de pouvoir revoir l’enfant.
Camille va donc accepter de rencontrer Gabriel, un spécialiste des rêves ; un homme rustre, taiseux, qui vit à l’écart du monde, et, officiellement n’a plus le droit d’exercer.
Alaska. Un impressionnant blizzard a transformé le paysage en un désert blanc, venteux, glacial, où l’on ne voit pas à un mètre devant soi. Bess, le temps de faire ses lacets, lâche la main de l’enfant. Lorsqu’elle se redresse, il a disparu. Elle va alors tenter de le retrouver. Au même moment, Benedict se rend compte de leur disparition et part à leur recherche, emmenant un Cole alcoolique et récalcitrant avec lui.
Pourquoi Bess est-elle partie avec l’enfant dans ce blizzard ? Pourquoi surtout, a-t-elle suivi Benedict ici, elle est trop douce, trop fragile, trop urbaine, pour trouver sa place dans cet Alaska rude, solitaire et dangereux.
Et Benedict, quelle est son histoire ? Ainsi que celle de Cole, puis de Freeman, ce noir qui reste isolé, parle peu ?