Sur fond d’humour noir, Joseph Bialot nous plonge dans l’univers du monde du prêt-à-porter des années 70. L’univers de la confection schmates en yiddish est mêlé à celui de la prostitution. Ce microcosme se nourrit de brassage des cultures juives yiddish slaves et arabes. Les enquêteurs du crime portent des noms de stations de métro Brancion, Couronnes, Chaligny.
On se croirait dans un film de poulets à la Audiard avec son langage cru et aiguisé qui sonne bien Titi Parisien. Bienvenue dans le monde du prêt-à-saigner.