« Être otage, c’est pire qu’être en prison. En prison, tu sais pourquoi tu es là et à quelle date tu vas sortir. Quand tu es otage, tu n’as même pas ce genre de repères. Tu n’as rien. »
Et oui c’est la quatrième de couverture, tout est dit en quatre phrases.
Guy Delisle nous retranscrit le cheminement de pensée d’un otage (Christophe André) qui du jour au lendemain se retrouve en captivité sans repères. Continuer la lecture