Soleil à coudre, Jean d’Amérique

« La nuit arrose mes cauchemars jusqu’au bout du matin. »
(suite…)
« La nuit arrose mes cauchemars jusqu’au bout du matin. »
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Rose-Mercie est une très jeune fille de 16 ans. Née dans la bourgeoisie du cap haïtien. Dans cette bourgeoisie, plus on est clair de peau, mieux on réussit. Elle se retrouve orpheline de père (Albert Desfontaines mort d’une chute de cheval).
En 1918 Ange est démobilisé et retourne en Haïti. Traumatisé par la guerre il n’est plus lui même. Rose Mercie de son coté à vécu d’autres choses et est devenue très indépendante et autonome. Arriveront ils à se retrouver? Pour lui, les Américains sont des sauveurs. Pour elle des occupants.
Dans ce roman, il y a deux histoires. La première, celle d’Haïti, la seconde celle d’une femme indépendante, avant-gardiste et dérangeante par ces décisions et choix de vie pour l’époque.
Rencontre le jeudi 4 mai 2017.
[Dédicace mercredi 30 novembre 2016, 18h30]
L’histoire commence par une ado (13 ans) dansant pieds nus dans la rue, et qui soudainement se fait frapper par son père.
Petit retour en arrière, où Alice Bienaimé se raconte, son enfance, sa famille, et la passion pour la danse qui grandit en elle.
Elle raconte, petite, les moments de complicité avec sa mère au piano, son oncle souriant, la musique autour d’eux.
Elle raconte la cuisinière et nourrice à la fois, Man Bo, qui cache ses pratiques vaudous, ses croyances et ses histoires fabuleuses (mais les transmet à Alice). (suite…)