Le roman s’ouvre sur le décès sur scène d’un célèbre comédien interprétant Le Roi Lear. Comme le Signe avant coureur de l’effondrement de la civilisation, le point névralgique de la tempête.
Le monde tel qu’on le connaît n’existe plus. Une terrible épidémie a décimé la plupart des humains, ceux qui restent vivent, ou plutôt survivent, dans une grande précarité. Sans eau courante, sans électricité, sans véhicule… un retour brutal à un temps sans technologie. Continuer la lecture