Vi, c’est le prénom d’une petite fille qui veut dire précieuse minuscule microscopique. Elle est la dernière de la fratrie, qui a fui le Vietnam avec sa mère et ses frères pendant la guerre.
Après un passage dans un camp de réfugiés en Malaisie, la famille ira habiter à Québec, où elle vivra une adolescence discrète. Elle ira ensuite étudier à Montréal, se fera des amis, tombera amoureuse, travaillera, voyagera beaucoup… et devra surtout apprendre, à travers tout cela, à trouver qui elle est vraiment.
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La désorientale, Négar Djavadi
[Dédicace le dimanche 11 décembre, à 16h30]
[Rentrée Littéraire 2016]
[Prix du Style – Prix Lire – Prix Folies d’encre]
Kimiâ, narratrice de ce roman, est une iranienne immigrée en France. Partie à dix ans de son pays d’origine, elle s’est installée à Paris avec sa famille pour démarrer une nouvelle vie, loin de la dictature, des bombardements et des arrestations arbitraires habituels en Iran dans les années 70. Continuer la lecture
Les rencontres à la librairie
Une belle année riche de découvertes littéraires et de rencontres !
Merci aux auteurs, aux illustrateurs, aux éditeurs, aux attachés de presse, et à tous les lecteurs.
Rencontre avec Lucile Bordes
Rencontre avec Lucile Bordes, le jeudi 23 juin 2016.
Une soirée à l’image de son auteure et de ses livres : tendre, chaleureuse, humaine et enrichissante. Pour la sortie de son dernier livre : 86, année blanche, Lucile Bordes, à travers le prisme du regard de trois femmes, raconte comment la catastrophe de Tchernobyl va bouleverser leurs existences.
Quelques photos de la rencontre :
Décorama, Lucile Bordes
[Dédicace le jeudi 23 juin 2016, à 18h30]
Le roman commence brutalement. Georges, super agent immobilier, n’en peut plus de ce monde qui change, qui bouge, qui va trop vite. Un soir, dans la superbe voiture de son chef, il se précipite contre un arbre. Hospitalisation. Suivi psychologique. Et quand il sort, c’est pour un nouveau départ.
Il décroche le travail de gardien de cimetière. Il espère bien, ainsi, s’isoler du monde bruyant et en perpétuel mouvement. Il est celui qui reste dans cette ville où il est né. Celui qui ne fait pas de vagues. Celui qui aime la routine.
Seulement… les grilles d’un cimetière ne suffisent pas à empêcher le monde d’entrer. Continuer la lecture