Précédent Love me tender, Constance Debré raconte dans Play Boy son quotidien, cette transition de l’avocate aux cheveux longs, hétéro, mère et épouse, à l’écrivaine, lesbienne, cheveux courts, tatouage, et comme célibataire.
Une écriture directe, pour dire les choses avec simplicité, avec une certaine froideur aussi. L’impression que Constance Debré se détache d’elle-même, des émotions, de ses obligations de travail, se libère d’un carcan dans lequel elle ne pouvait plus être elle-même.
Elle raconte l’ennui tranquille de la routine qui s’était installé entre elle et son mari Laurent. Quelque chose de confortable, de rassurant. Qui a été bousculé, légèrement, lorsque son mari l’a trompée. Puis à l’arrivée de l’enfant, petit à petit les choses se sont déplacées. Continuer la lecture
Play boy, Constance Debré
Répondre