[Dédicace le jeudi 23 juin 2016, à 18h30]
Le roman commence brutalement. Georges, super agent immobilier, n’en peut plus de ce monde qui change, qui bouge, qui va trop vite. Un soir, dans la superbe voiture de son chef, il se précipite contre un arbre. Hospitalisation. Suivi psychologique. Et quand il sort, c’est pour un nouveau départ.
Il décroche le travail de gardien de cimetière. Il espère bien, ainsi, s’isoler du monde bruyant et en perpétuel mouvement. Il est celui qui reste dans cette ville où il est né. Celui qui ne fait pas de vagues. Celui qui aime la routine.
Seulement… les grilles d’un cimetière ne suffisent pas à empêcher le monde d’entrer. Continuer la lecture