Les Ephemères, Andrew O’ Hagan

On dit qu’on ne sait rien à 18 ans. Mais il y a des choses qu’on sait à 18 ans et qu’on ne saura  plus jamais ». C’est l’histoire d’amitiés d’une bande de copains dans les années 80 en écosse. Le leader c’est le merveilleux Tully Dawson travaillant dans une mine, insouciant, effronté  un rien provocateur et rêveur . A ses côtés, James dit Noodles, Limbo,  Clogs et les autres  vivent la galère, les années de la dame de fer, l’argent manque.

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Rendez-vous au point Zéro, Frédérique Le Teurnier

Dans ce premier roman, Frédérique Le Teurnier retrace avec sensibilité et nostalgie une histoire d’amitié, d’amour, de jeunesse qui s’étend sur trois décennies.

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Une amitié, Silvia Avallone

Début des années 2000, Bea et Elisa sont deux adolescentes que tout oppose, et qui vont pourtant se retrouver les meilleures amies du monde. Enfin… une amitié vue et décortiquée par Elisa des années plus tard.
Bea, la belle, toujours apprêtée, qui pose déjà pour des magasines, qui vient d’une famille aisée, à qui tout semble sourire. Elisa, aux parents divorcés, forcée de quitter la mère qu’elle adore pour aller vivre dans une autre ville avec son père, un informaticien plein de bonne volonté mais avec qui elle ne sent aucune affinité.

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En attendant lundi, Tomomi Abe

Un manga doux-amer, où l’enfance laisse place à l’adolescence…

En rentrant au collège, voici venu le temps de grandir et d’abandonner les jeux d’enfants. Les camarades de Mizutani l’ont bien compris et chaque jour la sépare un peu plus d’eux. Le dimanche, l’appréhension de la semaine suivante grandit en son cœur. 
Un jour, elle croise Tsukino, un garçon discret aux yeux dont « la clarté dépasse tout ce qui existe en ce monde ».
Dès lors, l’univers si gris autour d’elle reprend des couleurs et c’est le sourire aux lèvres qu’ils se promettent de se retrouver tous les lundis soirs, en secret, dans la cour du collège.

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La bâtarde, Violette Leduc

la batarde violette leduc

Violette découvre Paris, les éditeurs, les écrivains, se passionnent pour eux, pour leur intelligence, leurs livres, elle se sentira toujours en-dessous, moins bien, moins douée, leur ombre en quelque sorte.
Elle viendra à l’écriture un peu par hasard, par le journalisme, puis poussée par Maurice Sachs.Elle sera toujours une femme indépendante, même mariée, même rampante pour récolter un brin d’affection, elle est forte, même pleurant sur l’abandon elle serre les poings. Elle écoute sa douleur pour la dompter, elle s’en délecte, comme elle goûterait toutes les saveurs d’un plat avant de le cuisiner : pour en faire un repas qu’elle pourra dévorer. Pour pouvoir créer.

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