Notre soutenons et participons au Festival des Musiques Sacrées de Paris, du 11 au 20 mars.
Concert de clôture le 20 mars à la Salle Gaveau.
Orchestre Symphonique Divertimento, dirigé par Zahia Ziouani.
Solistes chanteurs : Syrine Ben Moussa, Sandra Bessis et Naoum Khoury.
Programme :
11 mars, 20h, lycée Henri 4 (6ème) : Table ronde « Culture, éducation, jeunesse, droits et liberté : quelle société construisons-nous ? »
12 mars, 17h, galerie Hibiscus (17ème) : Exposition de portraits d’asiatiques de France et musique du Japon.
13 mars, 15h, Black Pinky (14ème) : Atelier de découverte de la cuisine traditionnelle asiatique destiné aux collégiens. Echange avec de jeune chefs d’entreprise.
14 mars, 17h30, Collège de France (5ème) : Table ronde.
15 mars, 18h, Ecole de Musique Rue du Cherche-Midi (6ème) : Master Class de Musique.
16 mars, 18h, Amicale Internationale des Sportifs (20ème) : Rencontres et pratiques autour des arts martiaux. Démonstrations artistiques : cascades, danse du lion, capoeira.
17 mars, 18h, Librairie Maruani (13ème) : Rencontre Littéraire.
18 mars, 15h, Galerie Artbribus (13ème) : Exposition de portraits de gitans et musique gitane.
19 mars, 19h, Association 1000 visages (18ème) : Master Class des métiers du cinéma.
20 mars, 16h, Salle Gaveau (8ème) : Concert de clôture.
Persuadés que chaque culture ne peut s’épanouir qu’au contact des autres, nous avons pris le pari d’organiser, depuis 2008, le Festival des Musiques Sacrées de Paris.
Une ambition : réunir le plus grand nombre, croyants et non-croyants, autour des musiques sacrées des trois grandes traditions monothéistes, chrétienne, juive, musulmane, en programmant des concerts de qualité ouverts à tous, des tables rondes à visée pédagogique et des ateliers d’initiation au chant et à la musique à l’intention des enfants des quartiers « politique de la ville ».
Un souhait : faire émerger et mettre en évidence, à travers ces rencontres, ce qui fédère et ce qui rassemble.
Favoriser le dialogue interculturel :
– chaque concert présente, dans son programme, les trois traditions – chrétienne, juive, musulmane à un public venu à la fois retrouver l’écho musical de son héritage culturel mais aussi curieux d’apprendre à connaître les deux autres traditions
– à travers des tables rondes telles que : « la nation, fédératrice des toutes ses cultures », « la musique, outil de dialogue interculturel », « l’éducation culturelle et artistique institutionnelle permet-elle le partage des cultures ? ».
Faire tomber des barrières :
– géographiques. Les conservatoires sont au cœur de la ville, les gymnases à la périphérie ! Il faut porter les arts classiques là où on ne les trouve guère…
– financières. Les concerts sont proposés à des tarifs tout à fait abordables.
– générationnelles. Parce que les musiques sacrées ne doivent pas toucher qu’un public « mature », et qu’il faut sensibiliser les plus jeunes à cet héritage culturel.
Et, par conséquent, faciliter l’accès à la culture aux plus grand nombre.