Juillet 1945. Chaque matin, sous un soleil brûlant, Gisèle piétine devant la Résidence générale de Tunis, déterminée à obtenir le papier qui lui donnera des ailes : un ordre de mission avec Paris pour horizon. Car Gisèle veut étudier à la Sorbonne et devenir avocate. Elle veut lutter contre l’injustice, elle veut se battre pour le droit des femmes – deux combats qui s’enracinent dans son enfance.
Face à la mer, l’été de ses 18 ans, Gisèle navigue dans ses souvenirs, le regard tourné vers l’avenir.
Travaillant ce week-end, je ne pourrais malheureusement pas être présente à votre rencontre Madame Maïa Brami.
Mes pensées vont vers votre plume qui m’encouragera je le souhaite à aller au bout de moi-même, à ne pas et plus me laisser abattre, à me relever dignement comme toute femme devrait le faire comme Gisèle Halimi ; en y mettant tout son Coeur ❤️ .
Merci à vous Madame pour votre œuvre qui je vos le souhaite le devienne.