La fabrique de la terreur, Frédéric Paulin
Frédéric Paulin clôt sa trilogie sur la montée du terrorisme. Cet opus peut se lire indépendamment des autres, même si lire le triptyque dans son intégralité est passionnant. L'histoire commence…
Frédéric Paulin clôt sa trilogie sur la montée du terrorisme. Cet opus peut se lire indépendamment des autres, même si lire le triptyque dans son intégralité est passionnant. L'histoire commence…
Drôle, Mishani dresse le portrait psychologique d'un tueur en série Guil Hamzani, marié et père de deux filles, avocat spécialisé dans l'obtention des doubles nationalités des étrangers venant des pays…
Les Femmes sans merci de ce livre sont trois femmes, trois femmes mariées à des hommes violents. Violence physique, violence psychologique. Trois femmes retenues prisonnières d'une prison que leurs époux…
Nous voici à San Francisco. Claire DeWitt est entre plusieurs petites enquêtes, avec son assistant-stagiaire Claude. Lorsque l’un de ses amis est retrouvé assassiné.
Pas n’importe lequel : Paul Casablancas. Un musicien à succès, riche, avec qui elle a eu une brève mais authentique histoire d’amour.
Claire Dewitt, est profondément bouleversée par toute cette histoire. La détective était déjà bancale, désormais elle ne peut plus se passer de cocaïne, accumule les enquêtes, sillonne la ville, n’arrive plus à se regarder en face… mais elle avance, toujours, à l’instinct. Elle parcourt les kilomètres, sème les graines du doute, du questionnement, et attend que poussent les réponses. (suite…)
À Little Wesley (ville imaginaire dans le Massachussets) s’épanouit tranquillement une bourgeoisie américaine. Entre les soirées, les invitations aux barbecue, les soirées costumées, les journées s’écoulent agréablement.
Sauf qu’un couple détonne un peu : Vic et Melinda. Marié.e.s depuis une dizaine d’années, avec une petite fille discrète, sont invité.e.s partout. Seulement Melinda trompe ouvertement Vic. Elle ramène ses conquêtes aux soirées, s’enivre, danse avec, leur murmure à l’oreille. Et quand elle se lasse, ou quand l’un d’eux doit retourner dans sa région, elle en trouve un autre.
Vic laisse faire. Protégé par un flegme et une patience qui suscitent l’admiration et la stupéfaction de ses proches. Par jeu, par provocation par ennui, par fierté, il susurre à soir à l’oreille de l’amant du moment qu’il aurait assassiné le précédent (son meurtre non élucidé a fait la une des journaux). (suite…)