Sur fond d'humour noir, Joseph Bialot nous plonge dans l'univers du monde du prêt-à-porter des années 70. L'univers de la confection schmates en yiddish est mêlé à celui de la prostitution. Ce microcosme se nourrit de brassage des cultures juives yiddish slaves et arabes. Les enquêteurs du crime portent des noms de stations de métro Brancion, Couronnes, Chaligny.
On se croirait dans un film de poulets à la Audiard avec son langage cru et aiguisé qui sonne bien Titi Parisien. Bienvenue dans le monde du prêt-à-saigner.
L'histoire commence avec un Paris proche de l'implosion. Les dérèglements climatiques deviennent des signes de fin du monde, les manifestations désespérées bouillonnent dans les rues. Pauli n'y prête guère attention. Alcoolique, elle survit de petits boulots et d'aides extérieures qui s'épuisent.
Mona est militante engagée, elle veut alerter le monde. Elle croit encore. Lors d'une manifestation, en signe de protestation ultime, elle grimpe dans un arbre et s'y attache. Pauli croise son regard. Une histoire commence.
Neuf personnes reçoivent par courrier une liste de neuf noms - dont le leur. Ces personnes ne se connaissent pas, ne vivent pas dans le même coin des États-Unis, et ne semblent n'avoir rien en commun.
Le roman commence avec une construction d'un chapitre par personnage, découvrant la lettre. Le neuvième est assassiné, la liste à la main.
Résumé : Revue littéraire : L'histoire commence par le meurtre en direct d'une cam girl. Affaire laissée sans suite, dans laquelle la journaliste d'investigation Julita Wójcicka va mettre son nez.…
Un monde totalitaire jusqu’au-boutiste où rien ne doit stimuler, d’aucune façon que ce soit, les émotions. Tout est dans des tons de gris, toute forme d’art est prohibée, chaque relation humaine contrôlée… Un jour, comme un autre, Fausto sans y réfléchir, trace un cercle dans le sable de la plage et s’évanouit. Aussitôt, il est hospitalisé.