Le lapin, ce petit animal qui fait partie de notre quotidien depuis… toujours ? Stéphanie Hochet en trace l’historique à travers les arts, les représentations, les symboles.
Un animal ambivalent, tantôt petite boule de poil mignonne, douce, et réconfortante. Mammifère de compagnie pour les enfants. D’autres fois, associé à la sexualité débridée et décomplexée. Il peut aussi être assimilé à la peur et la fragilité ou la ruse et l’espièglerie.
Une enquête palpitante, drôle, et brillante, menée par le duo inséparable et légendaire : Holmes et Watson !Ces deux bandes dessinées parviennent merveilleusement à retranscrire en illustrations et en dialogues…
La seconde guerre se termine enfin. Dans ce Berlin en ruines, il est aujourd’hui temps de reconstruire un monde meilleur. Les résistants Käthe et Gerd peuvent enfin agir en plein jour et s’engagent immédiatement pour sauver leur ville. Käthe, surtout, a de grandes ambitions pour son pays. Elle veut créer une élite allemande, et pour cela va jusqu’à mettre en place un programme pour éduquer les enfants issus des élites intellectuelles, dans un lieu fermé, protégé, secret. Gerd la suit, l’admire pour sa détermination, son patriotisme, mais il fait souvent des aller-retours entre l’Est et l’Ouest de Berlin, il se lie d’une forte amitié avec l’Américaine Liz, et il voit aussi tout ce que le monde occidental a de bon.
Le premier roman d’Arnaud Rozan est puissant, noir dur mais essentiel.
Sydney, jeune homme noir est condamné par une famille blanche. Son crime ? Avoir été pris au piège du désir de deux jumelles. La sentence ? La pendaison de ses deux sœurs jumelles, la mort de ses parents et une maison brûlée. Quant à lui , il est défiguré au bord de la mort et sauvé par le shérif de Chattanoga qui cache un secret: l’unique goutte de sang qui coule dans ses veines est noire.
Cette unique goutte pourrait le conduire à la mort. De le savoir pourrait compromettre son avenir. Il se penche sur le sort de Sydney en l’aidant à se reconstruire et à s’instruire. Sydney par les coups reçus demeurent amnésiques et sa rédemption lui permettra de partir s’émanciper dans le nord, vers les états abolitionnistes et progressistes.
Un cargo au cœur de l’Atlantique. La capitaine mène son équipage avec professionnalisme et distance. Solitaire, elle parle peu, ne communique avec les hommes du bateau que pour la bonne marche de la traversée. Un jour, une demande étrange, et une acceptation immédiate tout aussi déstabilisante : les marins veulent jeter l’ancre et faire une baignade.
La commandante de mer ne participe pas à cette plongée en mer. Seule à bord, elle voit les marins comme de petits points anonymes dans l’eau. Eux, en pleine mer, vivent soudainement et pendant quelques minutes la perte de leurs repères.
De retour sur le cargo, quelque chose d’imperceptible semble avoir changer. Ils sont désormais 21 au lieu de 20, mais avaient-ils bien comptés dès le départ ? Le bateau semble ralentir de lui-même, ou bien est-ce un problème mécanique que personne n’arrive à déceler ?