Feu est la rencontre banale entre une mère de famille, professeure d’université et un jeune financier que tout oppose. En effet, ils n’ont en commun qu’une certaine morosité, la monotonie du quotidien. Leur rencontre est comme un nouveau souffle charnel, un bouleversement de leur routine, et au fil des mois, une remise en question de leur existence.
L’Angleterre est en crise, économique et gouvernementale. Réduite au rang de colonie, son peuple est affamé et opprimé. Un régime totalitaire sévère qui oblige les gens à partager des appartements, à faire des boulots épuisants et mal payés, à se nourrir de conserves, à se rationner. Un pays qui contrôle les naissances, force les femmes à porter des stérilets et donne des autorisations pour avoir un enfant.
Dans la petite ville de Cobb arrive un grand homme émacié, tout de noir vêtu. Agressif, prétentieux, son tour des boutiques et des brasseries ne laisse personne indifférent. Mais lorsque tous et toutes comprennent qu’il s’agit du nouveau chef embauché par l’une des deux familles prestigieuses du comté, un potentiel gros client donc, ils et elles vont se mettre en quatre pour répondre à ses besoins et désirs.
Un drôle de titre inspirant l’humour, la tendresse, les croyances et les mères juives. Roland naît avec un pied bot (et beau !). Cet handicap l’empêche de marcher et de traîner à quatre pattes. Sa maman Esther s’obstine et parvient à trouver tous les médecins du monde et la femme d’un rebouteux des beaux quartiers pour sauver son fils. Sa thérapie : rester calme dans un lit corseté et une attelle sur sa jambe pendant 18 mois.
Février 1961, une colonie de deux cents personnes est installée sur la lune. La doctoresse Elma York y vit six mois par an, avec pour fonction quelque peu routinière de conduire les humains sur différents sites. Quand l’opportunité se présente de pouvoir faire partie de l’équipe d’astronautes se préparant à aller sur Mars (la lune n’étant définitivement pas un climat favorable pour la migration humaine), elle ne va pas hésiter longtemps.