L’Alphabet du silence, Delphine Minoui

Goktay est un professeur à l’université de Bosphore à Istanbul. Ce dernier à signé un manifeste, celui de trop, intitulé les universitaires de la paix. Suite à ça il est arrêté et jeté en prison.
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Goktay est un professeur à l’université de Bosphore à Istanbul. Ce dernier à signé un manifeste, celui de trop, intitulé les universitaires de la paix. Suite à ça il est arrêté et jeté en prison.
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Mère et fille vivent isolées, au bord d’un lac. La mère est distante, laisse souvent sa fille seule. Celle-ci développe un rapport très sensuel, doux, et réconfortant avec la nature.
Un jour, la fille apprend qu’elle a un père quelque part, et surtout, un frère. De sa lourde solitude, elle pense avoir trouvé un sens à son existence : le retrouver. La mère et elle finissent par partir sur les chemins, en quête de cette famille disparue, en quête de réconciliation, en quête d’elles-mêmes.
Grandir n’est pas toujours facile. Dans une famille où le père construit des murs partout dans l’appartement, où la mère oscille entre dépression et comportement invasif, où le frère est porté aux nus pour son intelligence, ça devient presque de la survie. Heureusement Veronica a une arme puissante : l’humour.
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Allie, jeune journaliste en Belgique, vient de se séparer de son copain. Et donc, se retourne sur ses histoires passées, notamment l’une d’elles : une histoire d’amour à 14 ans, avec un jeune garçon vivant en France. Rencontré par internet, autour d’une passion commune pour un groupe de musique, ils sont rapidement devenus proches.
Sauf que l’histoire s’est finie brutalement, sans même qu’ils se soient rencontrés.
Des lendemains qui chantent vont nous faire découvrir un jeune ténor, Elio Leone, caché dans le rôle de Borsa, courtisan à la cour du duc de Mantoue, lors de la première de Rigoletto de Verdi.
Il vole la vedette au rôle titre, Elio possède une voix en or ! Il reçoit une ovation monumentale à l’Opéra Comique, à la Salle Favart à Paris.