A partir de la célèbre photographie de la tondue de Chartres prise par Capa, Julie Héraclès dresse le portrait d’une jeune femme de famille modeste prise dans le tourbillon de l’occupation allemande pendant la seconde guerre mondiale.
Lapvona, c’est un village perdu dans le temps, où les mœurs religieuses sont omniprésentes et les gens craintifs.
Lapvona, c’est aussi le récit d’un an dans ces terres ravagées par la famine et la sécheresse, et de Marek, fils malbâti d’un berger fanatique et violent.
Années 20, c’est la famine en URSS, côté Volga. Deiev, un commandant de train se retrouve missionné pour récupérer des enfants dans un orphelinat de fortune, et les transporter dans une région où ils seront pris en charge, où la famine n’est pas. De Kazan (capitale du Tatarstan) jusqu’à Samarcande, il y a 4000km.
Laurent Petit Mangin, lauréat de plusieurs titres littéraires pour son premier roman Ce qu’il faut de nuit, revient pour son troisième roman avec Les Terres animales.
La catastrophe nucléaire qui s’est produite quelque part en France n’a pas empêché une poignée d’amis à vouloir rester sur ces terres où rien ne manque.
En général, nous ne connaissons pas notre heure, ni le jour de notre mort. Et pourtant le nouveau roman de Carole Fives évoque le suicide assisté ou encore le droit de mourir dans la dignité autorisé en Suisse et en Belgique.
La décision d’Edith, gravement malade, entraine la famille de médecins à se replonger dans les souvenirs. Elle prendra rendez-vous avec la mort.