Louis-Philippe Dalembert nous emmène à Rome, ville éternelle. On suit le destin de Laura Sabatelli Guerrieri De Prestis, precieux mélange interculturel. D’une mère Elena issue de la bourgeoisie catholique et aristocrate italienne, du quartier chic du Prati et d’un père Giuseppe, juif laïc de la via Giulia, Laura va grandir près de la Zia Rachele et construire sa vie avec cette double culture.
Après Une Soupe à la grenade, on retrouve les trois sœurs Marjan, Layla et Bahar Aminpour sur la côte ouest du comté de Mayo en Irlande, au Babylon Café. On suit leur quotidien chaleureux de ces sœurs bienveillantes, qui par leur savoir-faire, partagent leur culture avec passion. Les parfums de la cuisine persane (dont certaines recettes sont proposées à la fin du livre) font voyager.
Dans un monde totalitaire, où le racisme contre les asiatiques est à son paroxysme, le jeune Bird, enfant métis vit seul avec son père, lorsqu’il reçoit une lettre de sa mère, d’origine chinoise, poétesse en fuite parce que dissidente. A quatorze ans, solitaire et en plein questionnements, il décide de partir seul dans la grand ville de New-York pour retrouver sa mère.
Imaginez une école où Balzac, Flaubert, Hugo, Baudelaire, Sand, Maupassant, Sand, Zola… auraient été dans la même classe ? De ce point de départ, Popésie et Maïté Robert publient des petites scènes hilarantes, facétieuses, intelligentes et cultivées.
Eunice, sportive et étudiante en psycho accuse brutalement la rupture avec son petit ami lorsqu’elle apprend que sa mère vient de décéder, bêtement tombée dans le fleuve à la sortie d’une soirée arrosée. Eunice, acceptant difficilement la situation, retrouve l’agenda de sa mère, avec des initiales mystérieuses revenant chaque mois. Alors qu’elle rencontre la belle Jennah, elle va mener une enquête sur sa mère et en apprendre aussi sur elle-même.