Teresa, agente d’entretien au Louvre, le dit et le répète : les personnages féminins des œuvres d’art en ont assez ! Elles sont tripotées, humiliées, insultées… Personne ne croit cette « petite excentrique » jusqu’au jour où un incident va obliger le Louvre à fermer ses portes…
Fin XIXe, dans un petit village de Québec où la cohabitation entre colons blancs et algonquins se passe plus ou moins paisiblement, plusieurs drames vont s’enchaîner et mettre à jour la violence humaine.
Bras coupé est la première fiction écrite en français par un Autochtone du Québec.
Amelia, de son vrai nom Joan, perd sa mère Diana, activiste contre la guerre du Vietnam, lors d’un tragique attentat à New York au milieu des années 70. Sa grand-mère décide de tout changer : d’adresse et de nom. Joan devient Amelia et quitte New York. On la retrouve à l’âge adulte, amoureuse de Lenny, juif californien. Mais le malheur frappe de nouveau à sa porte : son mari et son enfant sont percutés par un camion. Comment continuer à vivre quand le destin s’acharne sur vous?
Léo Szilard, valise en main contenant des photos et des habits avec une tabatière écrite en yiddish, débarque de Budapest à New York. Nous sommes en 1938. Physicien de renom et spécialiste des réactions en chaîne, il forme avec Einstein arrivé cinq ans plus tôt, un groupe de scientifiques juifs hongrois invités à travailler sur la création de l’arme atomique pour contrer l’avancée scientifique et militaire de l’armée allemande.
Le récit d’une femme qui a été violée par son beau-père pendant plusieurs années. Attention, ce livre sera dur à la lecture, mais aussi incroyablement intelligent. Un ouvrage nécessaire comme témoignage, mais aussi comme impulsion de réflexion et comme objet littéraire.